Il est 4 heures du matin. Les coqs commencent à chanter. Et je n’ai pas encore fermé l’œil. Ni Martin d’ailleurs. J’ai peur. Peur pour mon garçon, comme à chaque épisode de crise d’asthme aigu non contrôlable. Peur pour mon amour. Peur de cette ville meurtrière. Peur de cette nuit noire. Une peur viscérale de...Continue Reading